Shibby's blog

Ce billet fait suite à la remise en service de relais UHF Tait T800 série 2, sur lesquels j’ai déjà écrit quelques lignes ici: http://blog.shibby.fr/2018/07/01/conversion-dun-relais-tait-t800-serie-ii-sur-une-autre-plage-de-frequences/. La majorité de ces relais était censée avoir été revérifiée par un SAV compétent, en vue d’une réutilisation sur des réseaux professionnels, qui n’a finalement jamais eu lieu. Après leur avoir évité une fin tragique, une partie d’entre eux a été remise en service pour assurer la fonction de relais radioamateur. Cependant, après quelques mois d’utilisation, les tiroirs TX ont été touchés par une même panne, les uns après les autres : perte soudaine de puissance d’émission, sans signe avant coureur de défaillance. Disposant de plusieurs relais inutilisés, j’ai procédé à des échanges de tiroirs TX afin de dépanner au plus vite, avec le même résultat à plus ou moins court terme. N’ayant pas de raison de remettre en question les installations antennaires de ces relais, j’ai tout d’abord mis en cause l’étage d’amplification de ces modules émetteurs, qui ont possiblement été un peu trop sollicités dans leur précédente vie. La coloration brune des circuits imprimés, autour de la zone où se trouvent les transistors de puissance, a d’ailleurs été la principale raison de cette conclusion. Heureusement pour mon porte monnaie, ces transistors de puissance devenus obsolètes sont introuvables, hormis chez des sources d’approvisionnement peu fiables comme ebay et Aliexpress! C’est finalement une méthode de recherche de panne acquise lors d’un stage de fin d’études dans le SAV d’une boutique très connue spécialisée dans les radiocommunications de loisirs, qui n’existe plus depuis quelques années, qui m’a permis de trouver l’origine de la défaillance de l’intégralité des tiroirs TX…

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Je continue avec un nouveau sauvetage d’équipements radio. Ici, il s’agit de CM140 et CM340, dont la fréquence d’utilisation n’est paramétrable qu’à partir de 146MHz. Bien que cette limite basse de fréquence soit dictée par la référence des postes, il reste possible de les utiliser entre 144MHz et 146MHz sans modifier leur firmware. Pour être tout à fait honnête, c’est ce que j’ai tenté de faire initialement, mais la solution qui m’a permis de contourner cette limitation est bien plus surprenante. En fait, le poste accepte d’être paramétré en dehors de sa bande de fréquence. La limite est uniquement fixée par le logiciel de programmation! Il suffit donc d’installer le logiciel CPS « Commercial Series » puis d’écraser deux des fichiers installés par une version modifiée permettant la saisie de fréquence hors bande. 29/03/2024 : J’ajoute le CM360 à la liste dans cet article, suite à la validation par F4JON que je remercie au passage de son retour d’expérience. 01/05/2024 : Ajout de la procédure de mise à jour du firmware.

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Nouvel équipement passé à deux doigts de finir à la benne. Compte tenu du faible écart duplex réservé aux relais sur la bande VHF « 2 mètres », l’utilisation du duplexeur Procom DPF 2/6 qui accompagnait ce relais n’est pas envisageable. Il va me falloir trouver ou fabriquer des cavités adéquates avant de pouvoir utiliser ce relais ailleurs que sur mon bureau. Les recherches concernant le logiciel de programmation notamment, ainsi que les premiers essais, ont été fastidieux. Je vais par conséquent écrire quelques lignes pour faciliter la vie des autres personnes souhaitant remettre en fonction ce modèle de relais.

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Suite des aventures autour de la carte Orange Pi PC et Spotnik V4.1. Dans ce billet, je vais ajouter au fur et à mesure mes notes, remarques et suggestions de modifications ou d’amélioration logicielles et matérielles. Il est possible que la mise en forme soit un peu brouillon dans un premier temps, mais le plus important est de partager mon expérience. Je mettrai tout ça au propre par la suite. 23/11/2021: Nouvelle apparition du bug de détection de la carte son. J’ai mis à jour la description du problème (bien plus détaillée) ainsi que la solution proposée.

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Un petit billet sans prétention suite à des échanges avec des opérateurs Corréziens et Albigeois au sujet des tiroirs émission MATRA 410/430MHz utilisés sur les relais du réseau Radiocom 2000.
19/12/2021: Réception d’un colis contenant un tiroir RX/TX ainsi qu’un amplificateur 50W.
02/01/2022: Mise sous tension des tiroirs « RX TX UHF » ainsi que l’amplificateur et test de bon fonctionnement.
06/02/2022: Modification de la PLL et remplacement du quartz.
07/02/2022: Validation du pilotage du VCO par le signal BF appliqué sur l’entrée microphone.
21/02/2022: Amélioration de l’excursion en fréquence avec le nouveau quartz.
27/02/2022: Remise en question, et appel à l’aide.
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Ayant quelques restes de relais pro TAIT T800 Series II un peu fatigués, mais toujours fonctionnels, je m’en sers pour quelques expérimentations avec le RRF (Réseau des Répéteurs Francophones). Si vous faites à minima un peu d’écoute, principalement en VHF 2m et UHF 70cm, vous vous êtes déjà probablement arrêté sur une fréquence diffusant les émissions d’opérateurs francophones situés un peu partout dans le monde, ou vous avez au moins une fois entendu des opérateurs locaux débattre sur le fait que ce n’est pas de la vraie radio 🙂 Quel que soit votre avis, l’expérimentation reste intéressante et elle m’a amené à utiliser pour la première fois un de ces « mini PC » type Raspberry Pi, baptisé Orange Pi: une première expérience qui a bien failli me faire regretter l’achat de cette carte. Si vous avez lu mon billet traitant du MMDVM, vous savez que je ne suis pas du genre à m’avouer vaincu aussi rapidement. Le titre du présent billet laisse quand à lui peu de mystère sur la raison de cette mauvaise première impression…

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Pendant mes essais d’émission HF, j’ai souhaité réutiliser mes deux filtres RF Kenwood LF-30A, afin de filtrer des harmoniques de la fréquence d’émission visibles à l’analyseur de spectre. Les bretelles coaxiales achetées dans une grande enseigne radio il y a une vingtaine d’années étaient visiblement d’aussi bonne qualité que ce qu’on trouve sur les sites de vente en ligne asiatiques, et étaient donc inutilisables. C’est après cette découverte que les choses ont commencé à se compliquer, puisque le LF-30A est équipé de fiches SO-239 courtes, et mes nouvelles bretelles coaxiales de PL-259 longues! Il me restait deux solutions: Tronçonner les PL-259 pour les raccourcir ; Rallonger les SO-239, ce qui peut paraître un peu plus délicat à réaliser dit comme ça. Mon attrait pour le travail bien fait m’a plutôt orienté vers la seconde solution. Il ne restait plus qu’à trouver un modèle de fiche SO-239 pour montage sur panneau qui s’adapterait au boîtier actuel sans trop le maltraiter.

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Suite à l’installation du dipôle filaire pour la bande des 80m, j’ai acquis pour une poignée d’euros la célèbre boite d’accord ATU-100 conçue par N7DDC, sous forme de kit, chez AliExpress. Pour 39.73€ à la date de la commande (achetée ici), la carte électronique a ses composants CMS pré-câblés, le microcontrôleur pré-programmé, et est accompagnée des composants traversants ainsi que des boutons poussoirs, de la connectique, de l’afficheur OLED, des tores, des fils émaillés pour confectionner les inductances, et enfin du boîtier alu avec les faces avant/arrière en époxy peint en noir. Tout n’est pas rose pour autant, car les vendeurs sont à l’affut du moindre centime à gagner! En effectuant quelques mesures sur une charge 50 Ohms, on se rend compte que le pont de mesure VSWR a une bande passante très faible, ce qui est plus que pénalisant puisque le bon fonctionnement de cette boite d’accord dépend uniquement de la mesure de ROS effectuée en interne. Avec de mauvais relevés, l’algorithme de commutation des inductances et capacités peut aller jusqu’à aggraver l’accord d’impédance! 11/08/2021: Diodes BAT41 reçues en 2 jours, câblées et validées dans la foulée. J’ai mis à jour ce billet afin d’intégrer les infos supplémentaires suite aux relevés et essais.

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Les postes de la gamme RM5x0 sont assez robustes, du point de vue électronique, car les pièces en plastique sont quand à elles extrêmement fragiles.
La série RM520 est compacte mais la minuscule face avant déportée sur le microphone n’apporte pas suffisamment de souplesse de paramétrage pour une utilisation régulière et multi-fréquences dans le domaine radioamateur. Ceci étant dit, cette contrainte est balayée dans le cas d’utilisation en tant que relais, où le couple de fréquences de réception / d’émission et les divers paramétrages type CTCSS sont fixes. Une interface MMDVM pour les modes numériques est cependant impossible sans modification matérielle des postes, qui ne disposent pas nativement d’entrée et sortie audio non filtrée. Ce sujet ne sera pas traité dans ce billet, mais toute proposition de modification dans les commentaires sera la bienvenue.
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Ayant généré quelques perturbations radio dans le voisinage, à l’époque ou j’émettais sur les fréquences de la Citizen Band, j’avais fini par délaisser l’émission en HF au profit de fréquences un peu plus élevées. Mon premier émetteur-récepteur décamétrique acheté plus tard avec un de mes premiers salaires, au début des années 2000, n’a donc servi qu’en réception jusqu’ici, ce qui est plutôt frustrant compte tenu des opportunités de contact longue distance sur ces fréquences.
Les dimensions, le poids et la prise au vent des antennes HF ne sont pas franchement compatibles avec un terrain de « petite » taille et un mat léger. Il existe pourtant de nombreuses solutions permettant de raccourcir électriquement une antenne, ou de conserver la longueur physique en repliant les éléments sur la surface disponible.
Jusqu’ici je m’étais rabattu sur un long fil et une antenne a point d’alimentation excentré type « FD4 ». Toutes deux avaient visiblement une impédance trop élevée et récupéraient facilement tout type de parasite électrique généré dans les environs. Mon poste se retrouvait alors assourdi par un niveau de bruit à S9 sur une grande partie de sa bande passante. l’accord en émission était par ailleurs un vrai casse tête, que je n’ai pas réussi à solutionner.
Le temps passé à fabriquer une antenne permettra-t-il d’aboutir à un résultat satisfaisant? Le diagramme de rayonnement sera-t-il à la hauteur des attentes? Les récepteurs TV et radio proches seront-ils perturbés par mes émissions HF? La déception en cas d’échec serait énorme!
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